La collectivité

 

   

 

Gordon B. Hinckley :

 

      La constitution sous laquelle nous vivons et qui, non seulement a été une bénédiction pour nous, mais est devenue un modèle pour d’autres constitutions, est notre sauvegarde nationale inspirée par Dieu, et assure la liberté, la justice et l’égalité devant la loi. (Le Liahona, janvier 2002, p. 85)

 

      Nous pouvons, tous autant que nous sommes, exercer une influence bénéfique dans ce monde. (Le Liahona, janvier 2002, p. 86)

 

 

Richard G. Scott :

 

      Malgré des poches où sévit le mal, le monde dans son ensemble est majestueusement beau, rempli de gens sincères et bons. (Le Liahona, mai 2004, p. 100)

 

 

Russell M. Nelson :

 

      Partout dans le monde, la famille est de plus en plus attaquée. Si la famille échoue, beaucoup de nos systèmes politiques, économiques et sociaux échoueront aussi. (Le Liahona, mai 2008, p. 8)

 

 

Quentin L. Cook :

 

      Les prises de position en matière de morale motivées par le sentiment religieux doivent se voir accorder un accès égal au domaine public. En vertu de la constitution de la plupart des pays on ne peut pas accorder de préférence à une conscience religieuse mais celle-ci ne doit pas non plus être ignorée.

 

      La foi est une réserve de lumière, de connaissance et de sagesse et une source énorme de bienfaits pour la société quand les fidèles s’engagent à se conduire conformément à la moralité parce qu’ils se sentent responsables devant Dieu.

 

      Dans presque tous les cas, les gens qui ont la foi considèrent qu’ils ont la responsabilité, devant Dieu, d’être honnêtes.

 

      Il est clair que les valeurs morales relatives à l’honnêteté peuvent jouer un rôle important dans l’apport de la lumière et de la vérité et dans l’amélioration de la société. Elles devraient être appréciées par les gens qui n’ont pas la foi.

 

      La foi religieuse profite à la société et apporte de la lumière au monde.

 

      Qu'il soit clair que toutes les voix doivent se faire entendre dans le domaine public. Ni les voix de la religion ni celles du monde profane ne doivent être réduites au silence. De plus, nous ne devons pas nous attendre à ce que, parce que certaines de nos idées sont l’émanation de principes religieux, elles soient automatiquement acceptées ou aient la priorité. Mais il est tout aussi clair que ces idées et ces valeurs ont le droit d’être examinées quant à leurs mérites. (Le Liahona, novembre 2010, p. 29-30)

 

 

Boyd K. Packer :

 

      L’histoire a prouvé maintes et maintes fois que les principes moraux ne peuvent pas être changés par la force ni par le vote. La légalisation de ce qui est fondamentalement erroné ou mauvais n’empêchera pas la souffrance et les châtiments qui s’ensuivront aussi sûrement que la nuit succède au jour.

 

      Quelle que soit l’opposition, nous sommes déterminés à tenir le cap. Nous resterons fidèles aux principes, aux lois et aux ordonnances de l’Évangile. Si elles sont mal comprises, que ce soit innocemment ou délibérément, qu’il en soit ainsi. Nous ne pouvons pas changer ; nous ne changerons pas les principes moraux.

 

      Si nous ne protégeons pas et n’encourageons pas la famille, la civilisation et nos libertés périront immanquablement. (Le Liahona, novembre 2010, p. 76)