La dîme

 

 

 


La Première Présidence :


La définition la plus simple que nous connaissions est celle du Seigneur lui-même, à savoir que les membres de l’Église doivent payer 'annuellement un dixième de tous leurs revenus'(D&A 119:4). Nul n’est justifié de donner une autre définition que celle-là. (Lettre de la Première Présidence, 19 mars 1970)



Gordon B. Hinckley :


Je ne suis pas ici pour dire que si vous payez une dîme honnête, vous pourrez vous offrir la maison de vos rêves, une Rolls Royce et une résidence secondaire à Tahiti. Le Seigneur ouvrira les écluses des cieux selon nos besoins et non selon notre convoitise. Si nous payons notre dîme pour devenir riches, nous le faisons pour la mauvaise raison. L’objectif de base de la dîme consiste à fournir à l’Eglise les moyens nécessaires pour poursuivre son œuvre. (L’Etoile, octobre 1982, p. 84)

 

La dîme de l’Église est sacrée. Elle est utilisée de la manière définie par le Seigneur lui-même… Je suis extrêmement reconnaissant de la loi de la dîme. C’est la loi de financement du Seigneur… Elle est l’émanation de sa sagesse. (Le Liahona, janvier 2002, p. 85)

 

 

Robert D. Hales :

 

La base de la prévoyance est la loi de la dîme. Le premier objectif de cette loi est de nous aider à développer notre foi en notre Père céleste et en son Fils, Jésus-Christ. La dîme nous aide à vaincre nos désirs des choses de ce monde et à faire de bon gré des sacrifices pour les autres. La dîme est la grande loi équitable car, quelle que soit notre richesse ou notre pauvreté, nous devons tous payer « annuellement un dixième de [nos revenus] » (voir D&A 119:4) et Dieu répand sur nous tous « la bénédiction en abondance » (Malachie 3:10). (Le Liahona, mai 2009 p. 9)