Le mormonisme

 


origine et définition

 

 

 

Joseph Smith (1805-1844) :

 

      Le mormonisme est la vérité et tout homme qui l’embrasse se sent libre d’adopter chaque vérité : Par conséquent, les chaînes de la superstition, des préjugés, de l’ignorance et des intrigues de prêtres se détachent instantanément de son cou et ses yeux s’ouvrent pour voir la vérité, et elle l’emporte largement sur les intrigues de prêtres.

 

      Le mormonisme est la vérité, en d’autres termes, la doctrine des saints des derniers jours est la vérité.

 

      Le premier principe de notre religion sacrée, qui est fondamental, est que nous croyons avoir le droit d’embrasser tout ce qui est vérité sans être restreints ni empêchés par les croyances ou les superstitions des hommes ni par les dominations réciproques quand cette vérité est clairement démontrée à notre esprit et quand nous en avons la démonstration la plus évidente. (Times and Seasons, février 1840, p. 53-54)

 

      J'ai déclaré que la différence principale entre la façon de voir des saints des derniers jours et celle des personnes appartenant aux autres confessions était que ces dernières étaient toutes limitées par l’un ou l’autre credo qui refusait à ses membres le droit de croire à tout ce qui n’y figurait pas, tandis que les saints des derniers jours… sont prêts à croire à tous les principes justes qui existent et qui sont manifestés de temps en temps. (History of the Church, vol. 5, p. 215)

 

      L’enfer peut bien répandre sa rage comme la lave incandescente du Vésuve ou de l’Etna, ou de la plus effrayante montagne en feu ; mais le mormonisme tiendra. L’eau, le feu, la vérité et Dieu sont autant de réalités. La vérité est le mormonisme. Dieu en est l’auteur. (History of the Church, vol. 3, p. 296-298)

 

      L’amitié est l’un des grands principes fondamentaux du mormonisme ; elle a pour but de révolutionner et de civiliser le monde, de faire cesser les guerres et les querelles, et de faire des hommes des amis et des frères. (History of the Church, vol. 5, p. 517)

 

 

Brigham Young (1801-1877) :

 

      Notre religion n'est ni plus ni moins que l'ordre véritable des cieux - le système de lois qui gouverne les dieux et les anges. (Journal of Discourses, vol. 14, p. 280)

 

      Notre religion mesure, soupèse et circonscrit toute la sagesse du monde - tout ce que Dieu a jamais révélé à l'homme. (Journal of Discourses, vol. 8, p. 161)

 

      Si vous pouvez trouver une vérité au ciel, sur la terre ou en enfer, elle appartient à notre doctrine. Nous la croyons, elle est nôtre, nous la revendiquons. (Journal of Discourses, vol. 13, p. 335)

 

      Le mormonisme embrasse tout ce qui vient à la portée de l'intelligence de l'homme. S'il n'englobe pas tout ce qui est dans le ciel et sur la terre, il n'est pas ce qu'il prétend être. (Journal of Discourses, vol. 2, p. 123)

 

      Notre religion est tout simplement la vérité. Elle s'exprime tout entière dans cette formule. Elle embrasse toute vérité, où qu'on la trouve, dans toutes les œuvres de Dieu et de l'homme qui sont visibles ou invisibles à l'œil mortel. (Journal of Discourses, vol. 10, p. 251)

 

      Le mormonisme embrasse toute vérité, révélée ou non, qu'elle soit religieuse, politique, scientifique ou philosophique. (Journal of Discourses, vol. 9, p. 149)

 

      Le mormonisme englobe toute la vraie science connue des hommes, des anges et des dieux. (Journal of Discourses, vol. 8, p. 70)

 

      Toute vérité est nôtre. (Journal of Discourses, vol. 14, p. 281)

 

      « Où est votre code, votre credo distinctif ? » dira-t-on. Il remplit l'éternité ; c'est toute la vérité des cieux, de la terre ou de l'enfer. Voilà le mormonisme. Il embrasse toutes les sciences vraies, toutes les vraies philosophies. (Journal of Discourses, vol. 14, p. 280)

 

      La philosophie des cieux et de la terre, des mondes qui sont, qui ont été et qui doivent encore naître, tout cela, c'est là tout l'Évangile que nous avons embrassé. Dans la mesure où tout vrai philosophe comprend les principes de la vérité, dans cette même mesure, il détient l'Évangile et est un saint des derniers jours, qu'il le sache ou non. (Journal of Discourses, vol. 18, p. 359)

 

      Ce qu'on appelle le mormonisme embrasse tous les principes relatifs à la vie et au salut, pour le temps et l'éternité. Peu importe qui l'a. Si l'infidèle possède une vérité, elle appartient au mormonisme. La vérité et la doctrine saine que possède le monde religieux, et il en a beaucoup, appartiennent toutes à l'Église. Tout ce qui est bon, aimable et digne de louanges appartient à l'Église et au royaume. Le mormonisme englobe toute vérité. (Journal of Discourses, vol. 11, p. 375)

 

      Nous sommes pour la vérité, toute la vérité, rien que la vérité ; nous suivons le chemin de la vérité et nous espérons bientôt en posséder beaucoup plus que maintenant. (Journal of Discourses, vol. 14, p. 196)

 

 

Joseph Fielding Smith (1838-1918) :

 

      Ma religion est la religion de Dieu. C’est la religion de Jésus-Christ, sinon elle n’aurait absolument aucune valeur pour moi et elle n’aurait absolument aucune valeur pour les autres hommes au point de vue religieux. Si elle n’était pas dans mon âme, si je ne l’avais pas reçue dans mon coeur ou si je n’y croyais pas de toutes mes forces, de tout mon esprit et si je ne la faisais mienne, ne la vivais et ne la gardais bien assurée dans mon coeur tous les jours de ma vie – les jours de semaine aussi bien que les jours de repos, en secret aussi bien qu’en public, au pays et à l’étranger, partout de même, alors la religion du Christ, la religion des bonnes actions, la religion de justice, la religion de pureté, la religion de bonté, de foi, de salut et d’exaltation dans le royaume de notre Dieu, ma religion ne serait pas pour moi l’Évangile du Fils de Dieu. Tel est le mormonisme ; et tel est le genre de religion que nous voulons enseigner à nos enfants. Nous devons la recevoir nous-mêmes et l’enseigner du fond de notre coeur à leur coeur et de notre affection à leur affection, et nous pourrons alors les inspirer à cause de notre foi, de notre fidélité et de notre conviction, de l’Eglise. (Gospel Doctrine, p. 155)

 

      Le mormonisme est dans le monde pour le bien de ce dernier. Enseignant la vérité, inculquant la morale, préservant la pureté du foyer, honorant les autorités et le gouvernement, promouvant la culture, et exaltant l’homme et la femme, notre religion dénonce le crime et s’oppose à la tyrannie sous toutes ses formes. Le mormonisme cherche à édifier, non pas à détruire la société. (Messages of the First Presidency, vol. 4, p. 154)

 

 

Heber J. Grant (1856-1945) :

 

      Soit Joseph Smith a vraiment vu Dieu et a vraiment parlé avec lui, et Dieu en personne a vraiment présenté Jésus-Christ au jeune Joseph Smith, et Jésus-Christ a vraiment dit à Joseph Smith qu’il serait l’instrument dans les mains de Dieu pour rétablir sur terre le véritable Évangile de Jésus-Christ, soit le mormonisme, pour l’appeler ainsi, est une invention. Or le mormonisme n’est pas une invention ! C’est le pouvoir de Dieu pour le salut. C’est l’Église de Jésus-Christ établie sous sa direction, et toute l’incrédulité du monde ne peut rien changer aux faits fondamentaux associés à l’Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours. (Improvement Era, septembre 1938, p. 519)

 

      Le mormonisme, pour l’appeler ainsi, est réellement l’Évangile du Seigneur Jésus-Christ. Dieu m’a donné le témoignage de ces choses. (Conference Report, avril 1943, p. 7-8)

 

 

George Albert Smith (1870-1951) :

 

      Sion sera rachetée et le monde, qui se méprend maintenant sur l’œuvre du mormonisme, saura que c’est la puissance de Dieu pour le salut des personnes qui respectent les commandements de notre Père. J’ai le témoignage que l’œuvre progresse rapidement, que les enfants des hommes reçoivent le mormonisme dans leur âme et que c’est l’œuvre de notre Père. (Conference Report, avril 1906, p. 58)

 

 

Howard W. Hunter (1907-1995) :

 

      Je suis reconnaissant d’être membre de l’Église et mon témoignage de sa divinité repose sur l’histoire toute simple de ce garçon à genoux sous les arbres et recevant des visiteurs célestes, non pas un seul Dieu, mais deux personnages séparés, individuels, le Père et le Fils, révélant à nouveau à la terre les personnages de la Divinité. Ma foi et mon témoignage reposent sur cette histoire simple, car si elle n’est pas vraie, le mormonisme s’écroule. Si elle est vraie, et je rends témoignage qu’elle l’est, c’est l’un des plus grands événements de toute l’histoire. (Annual Joseph Smith Memorial Sermons, vol. 2, p. 197-198)