La foi au Seigneur Jésus-Christ

 

 

Samuel O. Bennion (1874-1945)

 

Membre du premier conseil des soixante-dix de 1904 à 1933

Membre de la présidence des soixante-dix 1933 à 1945 

 

 

 

     

      « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. Prenez mon joug sur vous et suivez mes instructions, car je suis doux et humble de cœur ; et vous trouverez du repos pour vos âmes. Car mon joug est doux, et mon fardeau léger. » (Matthieu 11:28-30).

 

      Pareille invitation vient dans notre monde troublé comme un phare dans une tempête. C'est une promesse de refuge, de sécurité et de paix, la réalisation de nos espoirs, la fin de nos craintes.

 

      « Venez à moi, vous tous qui êtes chargés. » Sommes-nous chargés des soucis de la vie ? Sommes-nous affligés par la peur de l'incertitude dans un monde qui est saisi d'agitation, de pauvreté et de guerre ? Je répète les paroles du Sauveur : « Venez à moi, et je vous donnerai du repos. »

 

      Nous ne devons pas hésiter à accepter son refuge car il est « doux et humble de cœur », et même si « nous étions tous errants comme des brebis » (Ésaïe 53:6), comme le dit Ésaïe, cependant il nous tend la main.

 

      « Le Fils de l'Homme est venu sauver ce qui était perdu », dit-il. « Que vous en semble ? Si un homme a cent brebis, et que l'une d'elles s'égare, ne laisse-t-il pas les quatre-vingt-dix-neuf autres sur les montagnes, pour aller chercher celle qui s'est égarée ? Et, s'il la trouve, je vous le dis en vérité, elle lui cause plus de joie que les quatre-vingt-dix-neuf autres qui ne se sont pas égarées. » (Matthieu 18:11-13).

 

 

SUIVRE SES INSTRUCTIONS

 

      Il est l'âme de l'amour et de la miséricorde, et il avait tant de considération pour nous, qu'il plaça sa vie sur l'autel pour que nous pussions vivre. « Prenez mon joug sur vous et suivez mes instructions », dit l'invitation.

 

      Pourquoi suivre ses instructions ? Parce qu'il est la lumière et la vie du monde. L'application sincère de ses doctrines apportera la solution complète aux maux des hommes et des nations s'ils veulent l'accepter. Il vint sur terre pour nous sauver, et nous donna un plan qui nous permettrait de recevoir le salut, mais ce plan est centré sur lui, notre Sauveur. Voilà pourquoi il dit : « suivez mes instructions » (Matthieu 11:29).

 

      Il exhorta ceux qui l'entouraient à « sonde[r] les Écritures... ce sont elles qui rendent témoignage de moi » (Jean 5:39). Il leur rappela constamment qu'il était la porte du salut.

 

      Il exprima cette vérité même dans ses prières, car un jour, s'adressant au Père, il dit : « Or la vie éternelle, c'est qu'ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ. » (Jean 17:3).

 

      Comparant son royaume à la bergerie, Il souligna de nouveau cette pensée en disant :

 

      « Celui qui n'entre pas par la porte dans la bergerie, mais qui y monte par ailleurs, est un voleur et un brigand... Je suis la porte. Si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé... Je suis le bon berger... et je donne ma vie pour mes brebis. » (Jean 10:1,8,9,14,15).

 

      Quand l'humble Nazaréen dit ces paroles, il annonça la fondation même de toute la religion chrétienne. Il - Jésus-Christ - est le Sauveur du monde et le Fils divin de Dieu. Ce n'est qu'en l'acceptant comme tel, et en se conformant à ses doctrines que chacun de nous se verra ouvrir la porte du salut. C'est le grand principe de base de l'Évangile.

 

 

L'ACCEPTER

 

      « Venez à moi », dit-il. « Suivez mes instructions. Prenez mon joug sur vous. » (Matthieu 11:28,29).

 

      Comment pouvons-nous venir à lui et partager son repos, si nous ne l'acceptons pas tel qu'il est, et ne croyons pas sans réserve qu'il EST le Fils de Dieu, et qu'il EST le Sauveur du monde ? Comment pouvons-nous prendre son joug sur nous, si nous n'acceptons pas et ne vivons pas les principes qu'il recommande ? Le vrai mode de vie est d'accepter complètement le Christ et son message. Il n'en est pas d'autre. Nous ne pouvons pas faire de compromis. Il dit lui-même : « Nul ne peut servir deux maîtres. Car, ou il haïra l'un et aimera l'autre ; ou il s'attachera à l'un et méprisera l'autre. Vous ne pouvez servir Dieu et Mamon. » (Matthieu 6:24).

 

      Nous aimant comme il le fait, même au point de sacrifier sa vie pour nous, et se représentant comme le bon berger disposé à explorer les montagnes pour trouver la brebis égarée, il enseigne qu'il n'y a qu'un seul troupeau, un seul berger - et qu'il est la porte de la bergerie (voir Jean 10:16).

 

      Le salut ne vient pas par Pierre ou Paul, pas par les enseignements d'un philosophe moderne quelconque, mais seulement par le Fils du Dieu vivant. « Celui qui croit au Fils a la vie éternelle ; mais qui ne croit pas au Fils ne verra point la vie », enseigna le Seigneur lui-même (Jean 3:36).

 

      Les apôtres de l'Église enseignèrent aussi spécialement que c'est par Jésus et par lui seul que le salut peut venir. « Il n'y a de salut en aucun autre », dit Pierre aux Juifs, « car il n'y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés. » (Actes 4:12).

 

      « Étroite est la porte, resserré le chemin qui mènent à la vie », enseigna le Seigneur dans son Sermon sur la Montagne. À diverses reprises dans son ministère il dit : « Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. » (Jean 6:35). « Je suis le pain de vie, celui qui vient à moi n'aura jamais faim, et celui qui croit en moi n'aura jamais soif. » (Jean 6:35). « Je suis la lumière du monde ; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie. » (Jean 8:12).

 

 

SA GRÂCE SALVATRICE

 

      Puisque le Christ est la porte de la bergerie, puisque le salut ne vient que par et à travers lui, et puisque nous avons tous besoin de sa grâce salvatrice, que ferons-nous pour être sauvés ?

 

      Le geôlier d'une certaine prison dans laquelle Paul et Silas étaient gardés et qui fut ébranlée par un tremblement de terre au cours de leur incarcération, leur posa une question similaire. « Le geôlier se réveilla, et, lorsqu'il vit les portes de la prison ouvertes, il tira son épée, et allait se tuer, pensant que les prisonniers s'étaient enfuis. Mais Paul cria d'une voix forte : Ne te fais point de mal, nous sommes tous ici.

Alors le geôlier, ayant demandé de la lumière, entra précipitamment, et se jeta tout tremblant aux pieds de Paul et de Silas ; il les fit sortir et dit : Seigneurs, que faut-il que je fasse pour être sauvé ? Paul et Silas répondirent : Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et ta famille. » (Actes 16:27-31).

 

      Ainsi donc, selon Paul, le premier pas par lequel nous venons au Christ, c'est de croire qu'il est le Seigneur. Cette croyance va évidemment de pair avec le fait de l'accepter - et le fait de l'accepter repose sur la connaissance que nous avons acquise à son sujet.

 

      La connaissance donnée à l'homme au sujet du Sauveur suffit pour justifier une foi permanente en lui. Tous nos espoirs, toutes nos ambitions pures peuvent se réaliser en lui. Nos joies augmentent, nos craintes sont calmées.

 

      La cause de la plus grande crainte de l'homme est la mort. Le Christ a pouvoir sur la mort. Il la vainquit en lui-même, et réalisa la résurrection, non seulement de son propre corps, mais aussi d'autres qui « entrèrent dans la ville sainte et apparurent à un grand nombre de personnes » (Matthieu 27:53). Ce pouvoir démontré sur la mort est la base de notre foi qu'il vaincra aussi la mort en notre faveur.

 

 

SON POUVOIR

 

      La maladie est le fléau de l'homme au cours de toute sa vie. Cependant le Christ a pouvoir sur elle. Il guérit les malades, quelles qu’aient été leurs afflictions, et donna le pouvoir à d'autres hommes de réprimander la maladie et de rendre la santé et la force. C'est pourquoi, il est un Dieu de miracles, un Dieu de pouvoir, ce qui ajoute à la confiance que nous avons en lui.

 

      Il est miséricordieux, gracieux et bon ; lent à la colère, longanime, plein d'amour et de bonté. Dans notre condition humaine, possédés des fragilités et des imperfections communes aux mortels, ces attributs de la déité encouragent la confiance en lui de notre part, et nous inspire à mieux faire, sachant qu'il sympathisera avec nous dans nos efforts pour surmonter le mal, et nous donnera le soutien spirituel pour le faire.

 

      Tout homme qui comprend l'Évangile et qui désire obtenir le salut, se rend naturellement compte que le péché est contraire à la nature divine. Il espère, car c'est un moyen d'arriver au salut, se débarrasser des effets du péché et montre sa dignité pour recevoir les bénédictions de Dieu. Mais comment peut-il se purifier de la sorte ? Il est vrai qu'il peut cesser ses actions pécheresses et se repentir pleinement, mais les taches du péché sont encore sur lui. Celles-ci aussi doivent être enlevées. Mais comment ?

 

      « Je suis le bon berger, et je donne ma vie pour mes brebis. » (Jean 10:11). Quand le Seigneur dit ces paroles, il avait en tête une pensée bien déterminée : Il mourait pour les hommes, prenant sur lui la punition de tous les péchés du monde. Si les hommes voulaient venir à lui, ils seraient guéris par ses blessures ; leurs péchés seraient lavés par son sang expiatoire.

 

      Il fut le sacrifice sans péché. Puisque notre Seigneur ne s'abaissa jamais à pécher, il ne devint jamais sujet à Satan. Sa justice l'éleva au-dessus de la domination du malin, car, comme il le dit un jour : « Le prince du monde... n'a rien en moi. » (Jean 14:30). Possédant en lui-même le pouvoir sur le péché et sur le diable, et se soumettant au sacrifice au Calvaire, il devint l'auteur du salut pour tous ceux qui croient en lui et obéissent à son Évangile.

 

      Sachant cela, l'âme repentante est émue d'un nouvel espoir. Voici un moyen de se purifier des péchés qui l'ont affligée. Voici une occasion de trouver la liberté que seule la foi en Dieu peut apporter. Voici la porte du salut. Ainsi la foi naît dans son cœur.

 

      Par une doctrine de ce genre, l’âme repentante comprend qu'en vérité le salut vient seulement par Jésus le Christ, car lui seul mourut pour nos péchés, lui seul a le pouvoir de pardonner. Ses bénédictions salvatrices ne sont cependant données qu'à ceux qui ont foi en lui.

 

      « Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé », dit Paul au geôlier (Actes 16:31) ; et Jésus enseigna : « Celui qui croit au Fils a la vie éternelle ; celui qui ne croit pas au Fils ne verra point la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui. » (Jean 3:36).

 

 

LA FOI EN LUI

 

      Paul déclara aux Hébreux : « Sans la foi, il est impossible de lui être agréable ; car il faut que celui qui s'approche de Dieu croie que Dieu existe, et qu'il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent. » (Hébreux 11:6).

 

      Mais, je vous le demande, qu'est-ce que la foi en Dieu ? N'est-elle qu'une reconnaissance passive qu'il vit ? La trouve-t-on dans le cœur de celui qui dans une vague d'émotion professe croire, mais qui ne change pas son mode de vie pour être en harmonie avec celui de l'auteur et objet de sa foi ?

 

      Le Sauveur dit un jour : « Ceux qui me disent : Seigneur, Seigneur ! n'entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux. » (Matthieu 7:21). Il nous donna aussi le grand et premier commandement : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta pensée. » (Matthieu 22:37).

 

      Il est certain que seuls ceux qui ont foi dans le Seigneur l'aiment, car l'amour naît de la foi. Que veut dire aimer le Seigneur, notre Dieu, de tout notre cœur, de toute notre âme, et de toute notre pensée ?

 

      À ceux qui professaient l'aimer, le Seigneur dit : « Si vous m'aimez, gardez mes commandements. Celui qui a mes commandements et qui les garde, c'est celui qui m'aime. » (Jean 14:15,21).

 

 

SON INTERPRÉTATION DE L'AMOUR

 

      Dans cet exemple, le Seigneur interprète l'amour en termes d'obéissance, ce qui nous rappelle la charge donnée par Samuel au roi Saül : « L'obéissance vaut mieux que les sacrifices, et l'observation de sa parole vaut mieux que la graisse des béliers. » (1 Samuel 15:22).

 

      Puisque l'amour de Dieu doit être interprété en termes d'obéissance à ses commandements, nous pouvons considérer le grand et premier commandement comme une injonction d'obéir et de servir Dieu de tout notre cœur, de toute notre âme, de toute notre pensée et de toutes nos forces.

 

      Servir le Seigneur de tout notre cœur et de toute notre âme signifie le servir sans réserve, donner de bon cœur la préférence à ses intérêts dans notre vie, et mettre littéralement tout notre cœur et toute notre âme à son service. Le servir de tout notre esprit signifie consacrer le meilleur de notre intelligence à son œuvre. Pour le servir de toutes nos forces, nous devons réunir le plein pouvoir de nos ressources pour l'accomplissement de ses buts sur la terre.

 

      Ayant ceci à l'esprit, nous pouvons voir aisément la philosophie qui sous-tend la déclaration de Jacques, que « la foi sans les œuvres est morte » (Jacques 2:26). Permettez-moi de revoir ses déclarations telles qu'elles sont rapportées dans le deuxième chapitre de son épître :

 

      Mes frères, que sert-il à quelqu'un de dire qu'il a la foi, s'il n'a pas les œuvres ? La foi peut-elle le sauver ? Si un frère ou une sœur sont nus et manquent de la nourriture de chaque jour, et que l'un d'entre vous leur dise : Allez en paix, chauffez-vous et vous rassasiez ! Et que vous ne leur donniez pas ce qui est nécessaire au corps, à quoi cela sert-il ? Il en est ainsi de la foi : si elle n'a pas les œuvres, elle est morte en elle-même. (Jacques 2:14-17).

 

 

L’IMPORTANCE DES OEUVRES

 

      L'Écriture nous dit à de nombreuses reprises que quand nous nous tiendrons tous, au dernier jour, devant le siège du jugement du Christ, les livres seront ouverts, et un autre livre sera ouvert, qui est le livre de vie, et nous serons jugés d'après les livres, selon nos œuvres. Pourquoi ne sommes-nous pas jugés selon notre foi, plutôt que selon nos œuvres, demanderont certains. La réponse est que les œuvres constituent la mesure de notre foi, car la foi produit en proportion directe de sa propre vigueur.

 

      À ce propos, Jésus enseigna qu’ « un bon arbre ne peut porter de mauvais fruits, ni un mauvais arbre porter de bons fruits. C'est donc à leurs fruits que vous les reconnaîtrez. » (Matthieu 7:18,20).

 

      Les fruits de la foi impliquent plus que marcher droit et agir justement avec nos semblables. Ils embrassent aussi l'observance des sacrements salvateurs et des principes de l'Évangile lui-même – sacrements qui sont étroitement liés à la foi aux enseignements de notre Seigneur. Ne dit-il pas : « Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé » (Marc 16:16) ? Et ne fut-il pas commandé aux disciples du Seigneur de se repentir de leurs péchés, pour que ces péchés soient effacés dans le baptême (Actes 2:38) ? Et de plus, les croyants baptisés ne reçurent-ils pas la promesse du don du Saint-Esprit - le baptême de feu qui suit le baptême dans l'eau (Actes 2:38) ? C'étaient là des sacrements salvateurs accordés à ceux qui croyaient au Seigneur Jésus-Christ, et par ces sacrements les hommes étaient non seulement purifiés des péchés dont ils s'étaient repentis, mais étaient guidés par l'esprit dans toute vérité. Sans ces sacrements ils ne pouvaient pas être sauvés, dit l'Écriture (Jean 3:5). Cependant les sacrements mentionnés étaient accordés à ceux qui avaient la foi.

 

 

UN PRINCIPE SALVATEUR

 

      Comme on le voit, la foi devient un principe sauveur dans notre vie. Tout d'abord, elle nous permet d'accepter que le Seigneur Jésus-Christ est le Fils de Dieu, le Sauveur et Rédempteur du monde. Ensuite, elle nous amène à nous rendre compte que nos péchés doivent être exclus de notre vie si nous voulons profiter des bénédictions qui nous sont offertes. Ceci mène à la repentance. Puis, la foi nous conduit dans les eaux du baptême, dans lesquelles nous recevons la rémission des péchés que nous avons surmontés dans notre repentance. Purifiés du péché, nous sommes conduits par la foi à recevoir le Saint-Esprit, qui guidera notre chemin, notre vie durant, et nous conduira dans une vie de bonnes œuvres au service du Maître.

 

      Nous voyons que la foi est un principe actif dans notre vie, un principe de pouvoir, de croissance et de liberté. Est-il étonnant que sans la foi il est impossible d'être agréable à Dieu (Hébreux 11:6), comme le dit Paul aux Hébreux ? Cependant, c'est un principe que tous peuvent acquérir. Don du ciel, elle est offerte à tous ceux qui la cherchent humblement.

 

      Si vous ne la possédez pas maintenant, vous pouvez l'obtenir en priant avec ferveur celui qui donne tous les dons nécessaires. Lorsque vous avez obtenu cette foi, apprenez à la mettre en œuvre en votre propre faveur pour que vous puissiez recevoir le salut que le Seigneur vous tend. Souvenez-vous, cependant, que la foi n'est que la première étape. D'autres étapes doivent suivre pour rendre cette foi efficace : Vous êtes-vous repentis de vos péchés ? Avez-vous reçu un baptême autorisé dans l'eau pour la rémission de vos péchés ? Avez-vous reçu le don du Saint-Esprit ?

 

      Savez-vous comment obtenir ces bénédictions de l'Évangile ?

 

      Dans les émissions qui suivront, nous discuterons de ces principes et sacrements salvateurs. Nous expliquerons comment, selon les Écritures, ils doivent être administrés, et auprès de qui on peut les obtenir. Dans ma prochaine allocution je parlerai de « La repentance qui donne la vie. »