Déclarations d'hommes
politiques sur l'Église
Thomas
E. Dewey (1902-1971),
gouverneur
de l'État de New-York (1943-1954),
le 16 mars 1951 :
Mes relations
personnelles avec les dirigeants et les apôtres de cette grande
Église ont été particulièrement
agréables. La connaissance que j'ai de l'histoire de cette
Église et de l'œuvre de ses membres dans notre région
montagneuse de l'Ouest et dans le monde entier m'inspire le plus
grand respect et les sentiments les plus sympathiques pour eux.
La transformation qu'ils
ont effectuée de landes et de déserts en terres
fertiles et de villes prospères, est un des miracles de
l'énergie et de l'entreprise. Ce miracle est dû à
la robustesse, à la persévérance, à
l'habileté et à la patience des ancêtres des
saints des derniers jours, et à la continuation par leurs
descendants d'aujourd'hui de leur œuvre, grâce à
leur dévouement au même idéal.
(L'Étoile,
mai 1951,
p. 73)
John
F. Kennedy,
futur
président
des
États-Unis, le 23 septembre 1960 dans le tabernacle de Salt
Lake City :
Brigham
Young n'a pas seulement construit un tabernacle célèbre
dans le monde entier, mais un grand État, au cœur d'une
région de montagne, en changeant le désert aride en un
pays désormais riche en ressources, en beauté et en
génie. Ce soir, au nom de tous les Américains,
j'exprime ma gratitude aux mormons pour leur esprit pionnier, leur
action en faveur de l'éducation et leur exemple de travail et
d'autonomie.
(http://www.jfklibrary.org)
John F. Kennedy,
président des États-Unis, le 26
septembre 1963 dans le tabernacle de Salt Lake City :
Je trouve une force régénératrice et du
plaisir à me rappeler l'histoire de ce groupe qui, il y a plus
d'un siècle, a fait le voyage périlleux à
travers les montagnes et les plaines pour construire un commenwealth
saint dans le désert.
De
toutes les histoires de pionniers et de colons américains,
rien n'est plus inspirant que l'épopée des pionniers
mormons. Les qualités des fondateurs de cette communauté
sont les qualités que nous recherchons en Amérique. Ce
sont les qualités que nous aimons
à sentir dans ce pays : le courage, la patience, la foi,
l'autonomie, la persévérance et, surtout, une
détermination sans faille pour que prévale le
droit.
Notre
tâche aujourd'hui est de transposer cet esprit dans l'état
d'esprit de l'Amérique, de nous conduire dans la communauté
des nations avec la même combinaison d'énergie et
d'endurance qui a conduit Brigham Young et son peuple en toute
sécurité dans la vallée du Grand Lac Salé.
(http://archive.org/details/jfk19630926)
David
Ben Gourion (1886-1973),
fondateur de l'État d'Israël et ancien Premier
Ministre d'Israël
En
1964, Ezra Taft Benson, apôtre
de l'Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours et ancien
secrétaire à l'Agriculture des États-Unis
(1953-1961),
rend visite à Ben Gourion qui lui fait l'affirmation suivante,
alors qu'il se séparent :
Vous
savez, il n'y a aucun peuple au monde qui comprenne les Juifs comme
les mormons.
(Ezra
Taft Benson, Un
message de Joseph à Juda,
discours prononcé le 2 mai 1976 à Alberta, au Canada)
Ronald Reagan (1911-2004), président des États-Unis de
1981 à 1989
Au cours de son mandat de président
des États-Unis (1981-1989), Ronald Reagan a déclaré, à propos des
mormons et des premiers convertis britanniques au mormonisme :
La
contribution des mormons à la vie américaine est incommensurable. Et
la contribution des îles britanniques et de l’Irlande à l’Église
mormone est également immense. Ce sont des contributions d’amour et de
joie, de foi et de famille, de travail et pour la collectivité. Elles
sont l’attachement à des valeurs qui sont au cœur des nations libres.
Et elles sont la foi en la promesse de l’avenir.
(https://www.ldsliving.com/What-President-Reagan-Had-to-Say-About-Mormons/s/81574
; voir la
vidéo)
Adam
Lopatka (1928-2003), ministre du culte du gouvernement
polonais de 1982 à 1987 :
Votre Église est
la bienvenue ici. Vous pouvez construire vos églises, vous
pouvez envoyer vos missionnaires. Vous êtes les bienvenus en
Pologne.
(voir
Le
Liahona,
novembre 2008,
p. 67)
Jacques
Chaban-Delmas (1915-2000),
maire de Bordeaux de 1947 à 1995, ancien Premier
Ministre et
président
de l'Assemblée Nationale
Le
30 mars 1984, Jacques Chaban-Delmas reçoit les représentants
locaux de l'Église à Bordeaux pour un entretien qui a
pour objet la présentation de l'Église, de ses buts et
de ses activités, plus particulièrement en ce qui
concerne la famille et les perspectives qui s'y rattachent. Un Livre
de Mormon, une Histoire de l'Église et des manuels de soirées
familiales sont remis au président Chaban-Delmas, ainsi qu'un
sondage sur la famille dans le Sud-Ouest. Au cours de l'entretien, le
maire de Bordeaux déclare entre autres choses :
Je suis passionné
par tout ce que j'entends.
Ce que vous faites est
très bien.
En cas de nécessité
ou de difficulté, n'hésitez pas à faire appel à
moi.
(voir
L'Étoile,
août 1984,
Nouvelles locales, p. 14)
Jean-Pierre
Detremmerie, maire de Mouscron
(Belgique) de 1980 à 2006 et membre
du
Parlement belge de
1981 à 2005 :
Les
mormons ont comme démarche très courageuse de montrer
leurs opinions face aux autres. Ils ne craignent pas de s'afficher.
Dans une société moderne, c'est un peu étonnant.
Dautre part, ils n'ont pas peur non plus de contacter d'autres
personnes. Ils veulent partager leur bonheur. J'ai l'impression que
c'est une Église de gens heureux qui désirent partager
leur bonheur. C'est assez étonnant à l'heure actuelle.
(A
Profile of Faith, film réalisé en 1992
par l'Église de Jésus-Christ des saints des derniers
jours)
Daniel
Hoeffel, sénateur du Bas-Rhin de 1981 à
1993 et de 1995 à 2004 :
Je
connais plus particulièrement la communauté des mormons
dans ma Région, l'Alsace, où elle apparaît comme
une communauté qui fait preuve de beaucoup d'unité, de
cohésion, qui défend des valeurs morales dont le besoin
aujourd'hui est plus que jamais ressenti, et je puis dire que de ce
fait elle jouit d'une excellente réputation dans notre Région.
(A
Profile of Faith, film réalisé en 1992 par
l'Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours)
Teddy
Kollek (1911-2007),
maire de Jérusalem de 1965 à 1993
Propos
tenus le 16 février 1992, lors de la tournée du Chœur
du Tabernacle mormon en Israël, que Teddy Kollek avait invité
De tous les combats que
j’ai menés en 25 ans dans les fonctions de maire de
Jérusalem, celui qui a trait au campus Brigham Young du mont
Scopus a peut-être été le plus ardu et
certainement parmi les plus importants. Ce n’était pas
une action en faveur des mormons mais plutôt pour la tolérance
dans une ville qui devrait donner l’exemple au monde. Une ville
où chacun puisse prier son Dieu à sa façon et
sans restriction. Comment pourrions-nous, nous les juifs qui avons
été coupés de nos lieux saints pendant des
siècles,
refuser aux autres le droit de construire un établissement
d’enseignement juste et un lieu de culte à Jérusalem
?
(L’Étoile,
octobre 1993,
p. 21)
Henri
Caillavet, ancien secrétaire d’État et
parlementaire français, en 1995 :
J'étais rapporteur
spécial de la Commission Nationale Informatique et Liberté.
C'est à dire le rapporteur des problèmes sensibles, des
fichiers sensibles politiques, religieux, syndicaux. Bref, l'enquête
se déroule sur deux plans : Français et étranger
(États-Unis). En France je peux en effet obtenir des
renseignements qui sont convenables au plan du droit,
et aussitôt je me rends aux États-Unis et qu'est-ce que
j'ai constaté ? C'est qu'il y a plusieurs milliards de
fiches, d'ailleurs eux-mêmes m'ont dit, et nous sommes en 1989,
plus de 14 milliards venant de 40 pays différents. En ce qui
concerne les Français : 500 millions de fiches. Depuis,
il doit y en avoir davantage puisque le microfilmage a continué.
Nous sommes donc en présence d'une bibliothèque géante,
la plus impressionnante qui soit.
Alors je me suis bien
évidemment intéressé à la finalité.
Deux finalités : une finalité religieuse incontestable.
Il faut baptiser les ancêtres, c'est pourquoi les mormons
vivants recherchent
leur arbre généalogique et leurs ascendants parce que
les âmes errent dans l'infini du temps, donc il faut pouvoir
les sauver. Et une autre finalité qui est évidemment
plus propre à une situation moderne, savoir : des
recherches sur des fiches particulières, sur des générations
particulières, notamment pour des recherches sur le cancer ou
des recherches sociologiques. D'où la création d'une
commission de contrôle. Parce que pour la première, la
finalité religieuse, comme ce sont des pièces qui ont
plus de cent ans, n'importe qui peut les consulter. Pour l’autre
il s'agit au contraire des pièces d'une époque
actuelle, donc il fallait une autorisation spéciale. Je
constate que tout cela a été régulier, tout cela
est conforme à la législation française. Alors
c'est vrai que la commission m'a approuvé.
J'ai quand même une
conception personnelle en tant que rapporteur, en tant qu'homme :
J'ai trouvé de la part des personnes que j'ai interrogées
une très grande sincérité, et je pense qu'il n'y
a pas de duplicité. Ce sont des personnes loyales qui
entendent au contraire prouver par cette probité extrême
qu'elles détiennent la vérité. En tant
qu'enquêteur je la cherchais. Mais là je dois dire
qu'elles sont assurées de leur vérité. C'est un
credo, c'est une foi, mais non sectaire. C'est-à-dire qu'elles
acceptent le dialogue avec autrui alors que trop souvent le dogme est
éliminatoire, il rejette, et le dogme est agressif, là
non. Nous sommes en présence d'une communauté qui a le
souci de sa personnalité
et de son identité, la certitude de ses choix avec la volonté
de convaincre mais non d'imposer. Et c'est là que je dois dire
que les mormons, de ce côté là, m'ont
particulièrement séduit. Pour autant, je n'ai pas le
souci de devenir mormon.
(Reportage
Les
microfilms de l'éternité
de
Bernard Mounier diffusé sur la chaîne télévisée
ARTE le 19 novembre 1995)
Bill Clinton,
président
des États-Unis,
en 1997, à l'occasion du cent-cinquantenaire de l'exode des
pionniers mormons :
Soixante-dix mille
pionniers de l'Église de Jésus-Christ des saints des
derniers jours ont ouvert une piste longue de deux mille kilomètres
jusqu'à la vallée du grand lac Salé, en
quête de liberté religieuse et d'un abri contre
l'intolérance.
Aujourd'hui, nous sommes
en admiration devant ce qu'ils ont accompli. Avec foi, courage et
détermination, ils ont construit une vie pour leur famille et
ont fait fleurir le désert.
À bien des égards,
l'histoire des pionniers mormons est celle de l'Amérique.
C'est l'histoire de tous ceux qui se sont rendus sur nos rivages à
la recherche de la liberté d'adorer selon les inspirations de
leur conscience.
(L'Étoile,
octobre 1997,
Nouvelles
de l'Église, p. 2)
Geraldo
Alckmin, gouverneur de l'État de Sao Paulo, au
Brésil, en 2006 :
Nous sommes heureux de
voir l'Église grandir ici, à Sao Paulo. Les membres de
l'Église craignent Dieu. Leurs familles savent entretenir de
bons rapports avec leurs voisins
et elles ont des principes et des valeurs qui les guident dans la
vie.
(Church
News du
18 février 2006 ;
voir aussi Le
Liahona,
juillet 2006,
Nouvelles
de l'Église,
p. 1-2)
Georges
Fenech,
député,
ex-président de la Miviludes (Mission interministérielle
de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires) :
En
France, le mormonisme n’est plus une secte depuis longtemps.
Ils ne pratiquent plus la polygamie depuis le XIXème siècle.
(Journal
Le
Ravi
du
15 janvier 2013 ;
http://www.leravi.org/spip.php?article1422)
La
baronne Emma
Nicholson,
membres
de la Chambre des Lords au parlement britannique :
Le
mercredi 10 juin 2015, Jeffrey R. Holland, apôtre de l’Église
de Jésus-Christ des saints des derniers jours, s’est
adressé à un groupe parlementaire réunissant
tous les partis au ministère des Affaires Étrangères
de la Chambre des Lords au parlement britannique sur la manière
dont l’oeuvre humanitaire peut aider. Ce groupe des Affaires
Étrangères est un groupe sans caractère officiel
où les membres du Parlement, les chefs religieux et dirigeants
de services humanitaires examinent les déclarations de
politique étrangère et tiennent des réunions
pour inciter un élargissement des discussions au sein du
Parlement. À
cette occasion, la baronne Emma Nicholson, directrice de ce groupe
parlementaire et fondateur et directrice de AMAR, un mouvement d’aide
humanitaire international qui aide les communautés du Moyen
Orient en proie aux conflits, a déclaré :
J’ai
invité frère Holland à venir à la Chambre
des Lords pour qu’il rencontre un bon nombre de mes confrères,
membres de la Chambre des Lords. Je veux qu’il partage sa
grande connaissance et sa compréhension, son cœur, son
intelligence et sa sagesse. Mes collègues, de tous les partis
de la Chambre, travaillent énormément pour aider les
gens et sont
toujours à la recherche de savoir et de moyens afin de faire
encore mieux.
LDS
Charities [organisation humanitaire de l’Église de
Jésus-Christ des saints des derniers jours] est magnifique. Je
ne peux vous dire à quel point j’admire ce système
colossal qui a été lancé, uniquement en
s’appuyant sur la charité. Ces deux organisations [AMAR
et LDS Charities] émanent de la même source qui est le
bien de tous et le désir profond de donner à chacun une
chance de traiter ses propres affaires, et non de survivre mais
d’avoir un avenir. C’est pourquoi je me réjouis de
ce partenariat.
(http://www.presse-mormons.fr/article/en-angleterre-un-apotre-mormon-s-adresse-aux-parlementaires-de-la-chambre-des-lords)
Mise
à jour : 26/02/2020