Lorenzo
Snow (1814-1901) :
Lorsque vous vous sentez un peu
morose, regardez autour de vous et trouvez quelqu’un qui est
dans une situation pire que la vôtre ; allez le voir pour
connaître ses difficultés puis essayez de les résoudre
avec la sagesse que le Seigneur vous a accordée ; et bientôt
votre morosité aura disparu, vous vous sentirez léger,
l’Esprit du Seigneur sera sur vous et tout semblera illuminé.
(Conference Report, avril 1899, p. 2-3)
Thomas
S. Monson :
Il
est toujours important de donner de soi-même. Il y a des cœurs à
réjouir, il y a des vies à consoler et il y a des bénédictions à
donner à nos semblables. (L'Étoile,
décembre 1975, p. 12)
Howard
W. Hunter :
Marquez
un arrêt dans la course de votre vie. Cherchez toutes les
choses amicales, attentionnées, courtoises que nous pouvons
faire et tous les petits besoins humains que nous pouvons satisfaire.
Écoutez les autres et découvrez quels sont leurs
espoirs et leurs
problèmes
afin de pouvoir contribuer par de petites choses à leur
réussite et à leur bonheur. (The Teachings of Howard
W. Hunter, compilés par Clyde J. Williams, 1997, p. 267)
Gordon
B. Hinckley :
Celui qui ne vit que pour lui-même
s’étiole et meurt, alors que celui qui s’oublie au
service d’autrui progresse et s’épanouit dans
cette vie et dans l’éternité. (Teachings
of Gordon B. Hinckley,
1997, p. 588)
Thomas
S. Monson :
Quelle ordonnance pour avoir la
satisfaction, la paix intérieure : avoir inspiré
la reconnaissance chez un autre être humain.
Les possibilités que nous
avons de donner de nous-mêmes sont vraiment illimitées,
mais elles sont également fugaces. Il y a des cœurs à
égayer. Il y a des paroles gentilles à dire. Il y a des
dons à faire. Il y a des actes à accomplir. Il y a des
âmes à sauver.
Nous pouvons sécher les larmes
de ceux qui pleurent. Nous pouvons réconforter les mourants en
leur parlant de la promesse de la vie éternelle.
Puissions-nous faire le mille de plus
pour inclure dans notre vie tous ceux qui sont solitaires ou abattus
ou qui souffrent pour une raison ou l’autre. (Le
Liahona, janvier
2002, p. 69-71)
M.
Russell Ballard :
Je crois que le dessein éternel
de notre Père céleste pour ses enfants s’accomplit
grâce aux choses petites et simples que nous faisons les uns
pour les autres. (Le
Liahona, mai 2004,
p. 86)
James
E. Faust :
N’est-il pas temps de commencer
à renoncer à nous-mêmes, comme le Sauveur l’a
conseillé, et à
nous soumettre et à nous maîtriser au lieu de nous
complaire dans un petit monde de recherche de plaisirs égoïstes ?
La question n’est pas tant de savoir ce que nous pouvons faire
que de savoir ce que Dieu peut faire par notre intermédiaire.
(Le
Liahona, avril
2004, p. 7)
Dieu nous envoie des messages
d’instruction ou d’encouragement pour nous rendre
capables de faire sa volonté. Souvent c’est pour nous
préparer en vue d’une tâche déterminée.
Tel a été le cas de Moïse dans le message du
buisson ardent. Nous devons veiller à ce que notre vie reste
en ordre pour que, lorsque nous recevons un message du type « buisson
ardent », nous disant ce que le Seigneur veut que nous
fassions, nous soyons capables de répondre. Nous devons nous
assurer que nous sommes en mesure de le reconnaître et d’y
obéir. (Le
Liahona, mai 2004,
p. 68)
Richard
G. Scott :
Si vous consacrez constamment votre esprit et
votre cœur à Dieu, il vous aidera à avoir une vie
riche et abondante, quoi qu’il arrive dans le monde qui vous
entoure. (Le
Liahona, mai 2004,
p. 101)
James
E. Faust :
Nous pouvons tous faire quelque chose
de bien tous les jours, pour un membre de la famille, pour un ami ou
même pour un inconnu, si nous recherchons ces occasions.
Nous pouvons partir à la
recherche des solitaires ou des non-pratiquants et les traiter en
amis. (Le Liahona,
novembre 2006, p. 21)
Thomas
S. Monson :
Il y en a qui sont découragés,
qui aspirent à revenir mais qui ne savent par où
commencer.
Ayons des mains prêtes, des
mains nettes, un coeur bien disposé, afin de participer à
donner ce que notre Père céleste voudrait que d’autres
reçoivent de lui. (Le
Liahona, novembre
2006, p. 58)
Henry
B. Eyring :
Vous pouvez demander à Dieu,
qui nous aime : « S’il te plaît,
laisse-moi servir aujourd’hui. Peu importe le peu de choses que
je suis capable de faire. Fais-moi juste savoir ce que je peux faire.
J’obéirai aujourd’hui. Je sais que je peux, avec
ton aide ».
Vous pouvez vous sentir écrasés
par votre propre pauvreté et par les tâches de la
journée. Mais si
vous décidez de ne pas attendre d’avoir plus de forces
et plus d’argent, et si vous priez pour avoir le Saint-Esprit
en partant, vous saurez en arrivant ce qu’il faut faire et
comment aider quelqu’un encore plus pauvre que vous. Peut-être
apprendrez-vous, en arrivant,
qu’il priait et attendait que quelqu’un comme vous vienne
de la part du Seigneur.
(Le
Liahona, mai 2007,
p. 91)
Thomas
S. Monson :
Souvent il suffit de petits actes de
service pour édifier autrui et lui faire du bien. (Le
Liahona, novembre
2007, p. 120)
Je témoigne que chacun de nous
peut sentir l’inspiration du Seigneur en vivant de manière
digne et en s’efforçant de le servir.
Il a été dit du Sauveur
qu’il « allait de lieu en lieu faisant du bien…
car Dieu était avec lui » (Actes 10:38).
Puissions-nous suivre cet exemple parfait. Dans cette traversée
parfois périlleuse de la condition mortelle, puissions-nous
également suivre ce conseil de l’apôtre Paul qui
nous aidera à rester sains et saufs et sur la bonne voie :
« Que tout ce qui est vrai, tout ce qui est honorable,
tout ce qui est juste, tout ce qui est pur, tout ce qui est aimable,
tout ce qui mérite l’approbation, ce qui est vertueux et
digne de louange, soit l’objet de vos pensées »
(Philippiens 4:8). (Le
Liahona, mai 2008,
p. 88, 90)
Puissions-nous toujours être
conscients des besoins des personnes qui nous entourent et être
prêts à les aider et à les aimer. (Le
Liahona, novembre
2008, p. 107)
Quand nous serons face à notre
Créateur, peut-être ne nous demandera-t-on pas :
« Combien de postes as-tu détenus ? »
mais : « Combien de gens as-tu aidés ? »
(Veillée du DEE pour les jeunes adultes, 11 janvier 2009,
www.ldsces.org)
Dieter
F. Uchtdorf :
Le nombre de prières que nous
faisons peut contribuer à notre bonheur, mais le nombre de
prières auxquelles nous répondons peut avoir encore
plus d’importance. Ouvrons les yeux et voyons les coeurs
lourds, remarquons la solitude et le désespoir, ressentons les
prières silencieuses des personnes qui nous entourent et
soyons un instrument dans les mains du Seigneur pour exaucer ces
prières. (Le
Liahona, novembre
2008, p. 120)
Plus nous sommes emplis de l’Esprit
de Dieu, plus nous allons vers nos semblables. Nous devenons des
artisans de paix dans notre foyer et notre famille, nous aidons notre
prochain partout et nous dispensons des actes miséricordieux
de gentillesse, de pardon, de grâce et de patience à
toute épreuve. (Le
Liahona, mai 2009,
p. 76)
Dallin
H. Oaks :
Notre Sauveur a fait le don de soi en
servant de manière désintéressée. Il a
enseigné que nous devons tous le suivre en renonçant à
tout intérêt égoïste pour servir autrui.
Un exemple bien connu de personnes
qui se perdent au service d’autrui, et qui n’est pas
propre aux saints des derniers jours, est le sacrifice que les
parents font pour leurs enfants. Les mères souffrent et
perdent leurs priorités et leur confort personnels pour porter
et élever chaque enfant. Les pères modifient leur vie
et leurs priorités pour subvenir aux
besoins d’une famille.
Nous nous réjouissons aussi de
ceux qui s’occupent des membres handicapés de leur
famille et de leurs parents âgés.
En prenant chaque semaine la
Sainte-Cène, nous témoignons de notre engagement à
servir le Seigneur et nos semblables. Dans les cérémonies
sacrées du temple, nous faisons alliance de sacrifier et de
consacrer notre temps et nos talents au bien d’autrui.
Le seul moyen de sauver notre vie
éternelle est de nous aimer les uns les autres et de nous
perdre dans le service.
Si nous nous aimons et nous servons
comme le Sauveur l’a enseigné, nous restons connectés
à nos alliances et à notre entourage.
Nous sommes plus heureux et plus
épanouis quand nous agissons et servons - pour ce que
nous donnons, non pour ce que nous en retirons.
Notre Sauveur nous enseigne à
le suivre en faisant les sacrifices nécessaires pour nous
perdre au service désintéressé d’autrui.
Si nous le faisons, il nous promet la vie éternelle, « le
plus grand de tous les dons de Dieu » (D&A 14:7), la
gloire et la joie de vivre en présence de Dieu le Père
et de son Fils, Jésus-Christ. (Le
Liahona, mai 2009,
p. 93-96)
Thomas
S. Monson :
Nous sommes très pris par nos
occupations. Cependant, si nous prenions un peu de recul pour
examiner ce que nous faisons, nous verrions peut-être que nous
nous affairons à des choses de peu d’importance. En
d’autres termes, trop souvent nous passons la plus grande
partie de notre temps à des choses qui n’ont pas
réellement beaucoup d’importance, négligeant des
causes plus importantes.
Je crois que le Sauveur nous dit qu’à
moins que nous nous perdions dans le service, notre vie ne sert pas à
grand-chose. Les gens qui ne vivent que pour eux-mêmes
finissent par se dessécher et, au sens figuré, perdre
leur vie, tandis que ceux qui se perdent au service d’autrui
progressent et s’épanouissent, et en fait sauvent leur
vie.
Nous sommes entourés de gens
qui ont besoin de notre attention, de nos encouragements, de notre
soutien, de notre réconfort, de notre gentillesse, que ce
soient des membres de notre famille, des amis, des connaissances ou
des inconnus. Nous sommes les mains du Seigneur ici sur terre, avec
la mission de servir et d’aider ses enfants. Il dépend
de chacun de nous. (Le
Liahona, novembre
2009, p. 85, 86)
D.
Todd Christofferson :
Pour donner de bons résultats,
le libre arbitre moral doit être accompagné de
discipline morale.
C’est l’Évangile
de Jésus-Christ qui donne la certitude morale sur laquelle
repose la discipline morale. (Le
Liahona, novembre
2009, p. 105, 106)
Le vrai succès dans cette vie
résulte de la consécration de notre vie, c’est-à-dire
notre temps et nos choix, aux desseins de Dieu (voir Jean 17:1, 4 ;
D&A 19:19). En faisant cela, nous
lui permettons de nous élever à notre plus haute
destinée. (Le
Liahona, novembre
2010, p. 16)
Dieter
F. Uchtdorf :
Il y a tellement de gens dans le
besoin auxquels nous pourrions penser plutôt qu’à
nous-mêmes.
Il y a tant de manières de
rendre service. Nous n’avons pas le temps de nous laisser
absorber par notre personne. (Le
Liahona, novembre
2010, p. 58)